La Sierra Maestra, avec ses
montagnes impénétrables, était le cadre parfait pour servir de base aux
guérilleros qui ont pu s'y cacher et harceler les troupes de Batista.
De décembre 1956 à novembre 1958, environ 250 combattants y étaient installés aux côtés de Fidel Castro.
Pour y aller, il faut d'abord se lever très tôt, pour un départ à 7h et une arrivée à 9h à Santo Dominguo, à plus de 50 kms d'une très mauvaise route surtout à la fin.
Mon proprio m'a réservé un taxi, et c'est une "Jigouli", mais en fait le tableau de bord est exactement celui de ma Lada !
Là-haut, j'attends 2 autres touristes hollandais qui vont faire la même excursion. Un 4x4 nous emmène avec notre guide 5 kms plus loin, sur une route aux virages hyper pentus, puis on se met en route pour 4h de visite (3h aller-retour et 1h de visite).
Le sentier n'est pas facile, et encore, des marches bien inégales sont aménagées. J'imagine à l'époque, quand il n'y avait aucun sentier et qu'il fallait avancer dans la végétation.
Sur place, pas grand ‘chose, juste quelques cabanes en bois, dont la plupart sont des "replicas" (à cause de l'ouragan Mattew).
La casa de
Fidel est l'originale, le rio qui coule à coté et dans lequel il faisait ses
ablutions s'appelle maintenant Rio Fidel.
Il y a une cuisine (qui était faite la nuit pour éviter le repérage des fumées), le local d'élaboration de la presse, celui de l'émission Radio Rebelde plus haut dans la montagne, même un tribunal !
Les combattants n'avaient pas de casa et dormaient dans des hamacs.
Un grand espace tondu a été aménagé depuis, pour l'atterrissage des hélicoptères.
Mais le guide est peu bavard, il donne quelques rapides explications simples en espagnol et même, ne riez pas, me charge de les répercuter en anglais aux 2 hollandais !
Finalement, une sortie assez décevante et qui m'a coûté extrêmement cher... mais c'était sur ma liste !
De décembre 1956 à novembre 1958, environ 250 combattants y étaient installés aux côtés de Fidel Castro.
Pour y aller, il faut d'abord se lever très tôt, pour un départ à 7h et une arrivée à 9h à Santo Dominguo, à plus de 50 kms d'une très mauvaise route surtout à la fin.
Mon proprio m'a réservé un taxi, et c'est une "Jigouli", mais en fait le tableau de bord est exactement celui de ma Lada !
Là-haut, j'attends 2 autres touristes hollandais qui vont faire la même excursion. Un 4x4 nous emmène avec notre guide 5 kms plus loin, sur une route aux virages hyper pentus, puis on se met en route pour 4h de visite (3h aller-retour et 1h de visite).
Le sentier n'est pas facile, et encore, des marches bien inégales sont aménagées. J'imagine à l'époque, quand il n'y avait aucun sentier et qu'il fallait avancer dans la végétation.
Sur place, pas grand ‘chose, juste quelques cabanes en bois, dont la plupart sont des "replicas" (à cause de l'ouragan Mattew).
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| La casa de Fidel |
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| Frigo d'époque |
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| La cuisine |
Il y a une cuisine (qui était faite la nuit pour éviter le repérage des fumées), le local d'élaboration de la presse, celui de l'émission Radio Rebelde plus haut dans la montagne, même un tribunal !
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| Radio Rebelde |
Les combattants n'avaient pas de casa et dormaient dans des hamacs.
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| Zone d'atterrissage |
Un grand espace tondu a été aménagé depuis, pour l'atterrissage des hélicoptères.
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| Un petit musée . Le texte en hommage au jeune colonel mort à 20 ans a été gravé sur sa propre gamelle |
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| Tombe du jeune colonel Rodriguez mort à l'âge de 20 ans |
Mais le guide est peu bavard, il donne quelques rapides explications simples en espagnol et même, ne riez pas, me charge de les répercuter en anglais aux 2 hollandais !
Finalement, une sortie assez décevante et qui m'a coûté extrêmement cher... mais c'était sur ma liste !
Bisous
RépondreSupprimerPedro demande"est-ce qu'elle a viré communiste ? Gnafgnafgnaf repons-je!! On passe notre confinement à buxeuil, première fois qu'on arrive à se connecter ( et ça va sans doute rester exceptionnel) on t'embrasse
RépondreSupprimercoucou joelle
RépondreSupprimertoujours aussi courageuse , je suis très contente que ton parcours se passe bien , ici grand confinement et beaucoup de travail ; mais vivement la retraite
bonne route bises
Coucou Joëlle ça doit être émouvant de retrouver la cachette de Fidel Castto et de ses acolytes ! Merci de nous faire voyager un peu tandis que nous sommes enfermés chez nous. Bisous.
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